Chronique La Neige noire de Paul Lynch

- Paul Lynch
- Traduit de l’anglais (Irlande) par Marina Boraso
- Le Livre de Poche
- 08/11/2017
- 312 p., 7.10 €
21 libraire(s)
- Nathalie Claudel de La Compagnie des livres (Vernon)
- Jean-François Delapré de Saint-Christophe (Lesneven)
- Marie Michaud de Gibert Joseph (Poitiers)
- Isabelle Aurousseau-Couriol de de Paris (Saint-Étienne)
- Véronique Marchand de Le Failler (Rennes)
- Amélie Ranchin de Le Jardin des lettres (Craponne)
- Nadia Sendin de Biblio.gironde (St Medard en Jalles)
- Angélique Gallois de Les Guetteurs de vent (Paris)
- Manuel Hirbec de La Buissonnière (Yvetot)
- Claude Charpentier de Lectures vagabondes (Liffré)
- Hélène Menand de du Parchamp (Boulogne-Billancourt)
- Hugo Latreille de Nouvelle (Asnières-sur-Seine)
- Valérie Ohanian de Masséna (Nice)
- Anne Bougerol de Privat (Toulouse)
- Carine Bastié de Privat (Toulouse)
- Christophe Aimé de M'Lire Anjou (Château-Gontier)
- Magali Mohamed de Le Pain des rêves (Saint-Brieuc)
- Sébastien Lavy de Page et Plume (Limoges)
- Nadège Rousseau de Passages (Lyon)
- Audrey Andriot de Jonas (Paris)
- Maryline Noël de Le Comptoir (Santiago)
Stanislas Rigot Librairie Lamartine (Paris 16e)
La Neige noire s’ouvre sur des flammes, celles de l’étable d’un fermier, Barnabas Kane. Malgré ses efforts désespérés, le bâtiment est détruit. Barnabas est sauvé in extremis par l’intervention providentielle d’un voisin. Son ouvrier n’a pas sa chance et périt en essayant de sauver le troupeau qui sera décimé à son tour. Dès le lendemain, les réactions des uns et des autres laissent supposer que ce mauvais coup du sort n’est peut-être que l’annonce d’une longue série. L’incendie était-il vraiment un accident ? L’onde de choc se propage non seulement au sein de la famille du fermier mais aussi aux alentours. Au cœur de la tempête, la famille Kane : Barnabas, sa femme Eskra et leur fils Billy. Ils reviennent des États-Unis où, après avoir quitté l’Irlande, Barnabas a travaillé et rencontré sa future femme. Depuis, ils ont acquis cette ferme et y travaillent d’arrache-pied. Mais – et une grande partie du livre se situe dans ce « mais » –, cela ne suffit pas à faire d’eux des gens du cru et encore moins des membres de la communauté.