Chronique L’Appel du coucou de Robert Galbraith

- Robert Galbraith
- Traduit de l'anglais par François Rosso
- Grasset
- 06/11/2013
- 576 p., 21.50 €
8 libraire(s)
- Laurence Behocaray de IUT Carrières Sociales - Site Jean Luthier - Université de Tours (Tours Cedex)
- Isabelle Réty de Gwalarn (Lannion)
- Marie Boisgontier
- Anne-Claire Demy de Arcadie (Luçon)
- Aislinn Brennan de Livres in room (Saint-Pol-de-Léon)
- Lolita Gomez de Paroles (Saint-Mandé)
- Paule Zimba de L'Escampette (Pau)
- Nicolas Seine de L'Escampette (Pau)
Stanislas Rigot Librairie Lamartine (Paris 16e)
Sous le pseudonyme rapidement éventé de Robert Galbraith, JK Rowling semble prendre un plaisir fou à s’emparer des codes du roman policier dit classique (comprendre : sans atrocités et autre intervention surnaturelle) pour tisser une intrigue tortueuse à souhait dans les plis et replis du vénéneux monde de la mode londonien. Autant l’avouer, son enthousiasme et sa fraicheur sont des plus communicatifs, bien loin d’un quelconque exercice de style à l’application ronflante. Voici donc Cormoran Strike, vétéran de l’Afghanistan (il y a laissé une jambe), détective forcément au bout du rouleau, aussi bien professionnellement – le client est une denrée rare – que moralement – il vient de rompre avec la femme de sa vie. Flanqué d’une nouvelle secrétaire intérimaire, la pétulante Robyn, il se voit confier, à sa grande surprise, une affaire qui secoua quelques mois auparavant le Royaume et qui semblait définitivement close : l’étrange suicide de Lula Landry, mannequin star. Les jours qui viennent s’annoncent agités…