Chronique Numéro 11 de Jonathan Coe

- Jonathan Coe
- Traduit de l’anglais par Josée Kamoun
- Folio
- 03/05/2018
- 496 p., 8.30 €
15 libraire(s)
- Jean-Luc Aubarbier de Lire en Majuscule (Sarlat-la-Canéda)
- Béatrice Leroux de Gibert Jeune (Paris)
- Juliette Retamal de La Terrasse de Gutenberg (Paris)
- Betty Duval-Hubert de La Buissonnière (Yvetot)
- Valérie Faucon de Graffiti (Castres)
- Fabienne Rosso de Baba-Yaga (Sanary-sur-Mer)
- Aurélie Janssens de Page et Plume (Limoges)
- Agathe Grandjouan de CBPT (Nantes)
- Brice Vauthier de L'Étagère (Saint-Malo (Paramé))
- Maritsa Boghossian de Pleine lune (Tassin-la-demi-lune)
- Christophe Gilquin de L'Atelier (Paris)
- Murielle Lerestif de Un Fil à la page (Mordelles)
- Annabelle Prat de Maupetit (Marseille)
- Sasha Le Paih de Le livre et la tortue (Issy-les-Moulineaux)
- Nadège Rousseau de Passages (Lyon)
Aurélie Janssens Librairie Page et Plume (Limoges)
Alison et Rachel. Deux amies d’enfance. Alison est étudiante et vit avec sa mère qui a du mal à joindre les deux bouts. Cette dernière, qui fut l’interprète d’un unique tube, accepte de participer à une émission de télé-réalité sur une île paradisiaque. Rachel suit, elle aussi, brillamment ses études. Son professeur de littérature anglaise l’invite à passer un week-end dans sa maison de campagne et lui apprend l’obsession de son défunt mari pour un film introuvable. De fil en aiguille, Jonathan Coe distille des éléments étranges, brouille les frontières. Est-on toujours dans la comédie sociale ? Et ce policier qui arrive pour résoudre les meurtres de deux humoristes ? Et cette créature tapie au fond d’un trou béant ? Et ce numéro onze qui revient de chapitres en chapitres ? Jonathan Coe égratigne la bourgeoisie, nous parle de l’Irak, de Tony Blair, de l’art contemporain, de la traite des humains, des Tweets, du monstre du Loch Ness… et à cet auteur-araignée de nous piéger une fois de plus dans sa toile !