Chronique Sur cette terre comme au ciel de Davide Enia

- Davide Enia
- Traduit de l’italien par Françoise Brun
- Le Livre de Poche
- 21/03/2018
- 7 p., 9 €
13 libraire(s)
- Nadia Sendin de Biblio.gironde (St Medard en Jalles)
- Béatrice Leroux de Gibert Jeune (Paris)
- Stanislas Rigot de Lamartine (Paris)
- Betty Duval-Hubert de La Buissonnière (Yvetot)
- Jean-Baptiste Hamelin de Le Carnet à spirales (Charlieu)
- Florence Raut-Trouillard de La Libreria (Paris)
- Muriel Balay de Syllabes (Millau)
- Valérie Ohanian de Masséna (Nice)
- Gabriel Pflieger de Vivement dimanche (Lyon)
- Christophe Aimé de M'Lire Anjou (Château-Gontier)
- Maud Derre de Thuard (Le Mans)
- Isabelle Digailliez de L'Oiseau Lire (Visé)
- Isabelle Goncalves de Collège Louis Pasteur (Chaudes-Aigues)
Linda Pommereul Librairie Doucet (Le Mans)
Palerme, années 1980. Dans une ville sale et violente gangrenée par la Mafia, un jeune garçon de 9 ans, Davidu, élevé dans une famille de boxeurs, tente de trouver sa voie dans un monde où seule règne la loi du quartier. Dans l’ombre de son père, un boxeur de talent mort peu avant sa naissance au moment de combattre pour le titre national, il grandit sous le regard vigilant et viril de l’oncle Umbertino, boxeur déchu et grand séducteur devant l’Éternel. Les personnages de Davide Enia sont des électrons libres. Ils font leur apparition comme des boxeurs sur un ring en quête de la victoire finale, parfois de manière brève et brutale, car chacun d’eux possède sa zone d’ombre et sa ligne de faille, notamment le grand-père Dans ce premier roman remarquable, Davide Enia raconte cinquante ans d’Histoire, de la campagne d’Italie en Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale, à la toute-puissance de la mafia sur la ville, tout en y instillant la poésie de sa langue, celle rude et chatoyante de sa terre, la Sicile.