Chronique Qi Baishi de

- Traduit du chinois par Patricia Batto
- Éditions Picquier
- 03/11/2011
- 224 p., 39.50 €
14 libraire(s)
- Marie-Aube Ruault de La Carline (Forcalquier)
- Christine De Kermadec de Ravy (Quimper)
- Charlotte Desmousseaux de Les Machines de l’île (Nantes)
- Marylise Corelli de Ryst (Cherbourg-Octeville)
- Marie Boisgontier
- Benoît Cagneaux de Le Goût des mots (Mortagne-au-Perche)
- Géraldine Huchet
- Nicole Legrand de Graffiti (Castres)
- Stéphanie Banon de Charlemagne (La Seyne-sur-Mer)
- Christine Métaut de Contact (Angers)
- Laurence Quenard de Garin (Chambéry)
- Marc Demmer de Maupetit (Marseille)
- Caroline Clément
- Nicolas Fargette de L'ouvre-boîte (PARIS)
Linda Pommereul Librairie Doucet, Le Mans
Pour la première fois, un album réunit les œuvres et les mémoires de Qi Baishi. Surnommé « L’Ermite de la Pierre Blanche », Qi Baishi a reçu les plus hautes distinctions de son gouvernement et séduit les plus grands. Même Picasso était intimidé à l’idée de rencontrer ce grand maître lorsqu’il a conçu le projet d’un voyage en Chine. Peintre de la simplicité et des lignes pures, son art est aérien et semble flotter au vent. Travailleur acharné qui se définira comme le peintre de la nature, il n’aura de cesse de faire évoluer son art au fil des années. Pour cela, il entreprendra un long voyage à travers la Chine afin d’étudier les maîtres de la calligraphie. Son originalité tient dans l’énergie de son pinceau et dans la manière dont il rehausse les couleurs, opérant un savant mélange entre la tradition et le monde qui l’entourent.