Chronique Les Suprêmes de Edward Kelsey Moore

- Edward Kelsey Moore
- Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cloé Tralci, Emmanuelle Aronson et Philippe Aronson
- Babel
- 06/05/2015
- 416 p., 9.70 €
35 libraire(s)
- Betty Trouillet de Cultura (Carcassonne)
- Dominique Paschal
- Emmanuelle George de Gwalarn (Lannion)
- Jean-François Delapré de Saint-Christophe (Lesneven)
- Karine Clugery de Les Mots voyageurs (Quimperlé)
- Christine Jankowski de Tome 19 (Revel)
- Nathalie Devigne de Espace culturel (Andrézieux-Bouthéon)
- Marie Boisgontier de M'Lire (Laval)
- Delphine Bouillo de M'Lire (Laval)
- Ketty Cagnon de Vauban (Maubeuge)
- Martine Coussy de Entre les lignes (Chantilly)
- Marie Hirigoyen de Hirigoyen (Bayonne)
- Julie Uthurriborde de Montmartre (Paris)
- Anne-Claire Demy de Arcadie (Luçon)
- Aurélia Magalhaes de Jean Cocteau (Massy)
- Isabelle Poilbois de Espace culturel (Moisselles)
- Florence Raut-Trouillard de La Libreria (Paris)
- Aude Marzin de Jeux, lis, là ! (Paris)
- VALERIE Diot de À l'eure des livres (Bernay)
- Valérie Landry de de Paris (Saint-Étienne)
- Anne Lesobre de Entre les lignes (Chantilly)
- Rachel Guitton de A SUPPRIMER 3 ()
- Ellen Brezellec de Auréole (Auray)
- Agathe Grandjouan de CBPT (Nantes)
- Céline Vignon de Mots et images (Guingamp)
- Brice Vauthier de L'Étagère (Saint-Malo (Paramé))
- Christelle Siméon de Publicisdrugstore (Paris)
- Stéphanie Foucher de Maison de la presse (Rueil Malmaison)
- Alix Mutte de La Lison (Lille)
- Elise Patteeuw de Les Beaux Titres (Levallois-Perret)
- Lucie Rouaux de Charlemagne (Toulon)
- Alain Valissant de Le Furet du Nord (Lille)
- Eve Bohu de Nicole Maruani (Paris)
- Véronique André de Baba-Yaga (Sanary-sur-Mer)
- Murielle Lerestif de Un Fil à la page (Mordelles)
Marie-Laure Turoche Librairie L’Écriture (Vaucresson)
Dans une petite ville de l’Indiana, trois femmes afro-américaines sont liées par une amitié indéfectible. Odette, la boulotte à forte tête ne laisse jamais sa langue dans sa poche. Elle a hérité du don familial, elle communique avec des fantômes. Ainsi, des anciens amis, sa mère et même Eleanore Roosevelt viennent régulièrement lui rendre visite, nous régalant de leurs savoureux commentaires. Odette a la chance d’être très heureuse en mariage. Ce qui n’est pas le cas de Clarice. Son mari la trompe régulièrement. Barbara Jean est une femme sublime. Elle est mariée à un homme plus âgé, riche et fou amoureux d’elle. Mais sa vie est une tragédie sans cesse renouvelée et c’est dans l’alcool qu’elle a trouvé refuge. On parle souvent de ces livres qui font du bien, les fameux « feel good books », ce livre en fait incontestablement partie. Si le deuil, la maladie et la peine sont présents, on retient surtout l’humour incisif d’Odette, l’émancipation de Clarice et la passion de Barbara Jean. Elles sont devenues mes meilleures copines.