Chronique La Cuillère de Dany Héricourt

- Dany Héricourt
- Liana Levi
- 27/08/2020
- 240 p., 14.99 €
14 libraire(s)
- Emmanuelle George de Gwalarn (Lannion)
- Stéphanie Hanet de Coiffard (Nantes)
- Amandine Ardouin de Saint-Pierre (Senlis)
- Marie Hirigoyen de Hirigoyen (Bayonne)
- Marie-Laure Turoche de Coiffard (Nantes)
- Isabelle Theillet de Les Libraires Volants (Paris)
- Caroline Herbeck de Maison du livre (Rodez)
- Laurence Tutello de Le Chat Pitre (Paris)
- Catherine Aquilina de MEDIATHEQUE DE VAISE (LYON CEDEX 09)
- Marina Sauvage de Quai des mots (Épinal)
- Charlyne Drouhard de Lulu (Mornant)
- Morgane Rohel de De Caen (Caen CEDEX)
- Charlène Noel de Quantin (Lunéville)
- Jérémy Derny de L'impromptu (Paris)
Marie-Laure Turoche Librairie Coiffard (Nantes)
Pembrokeshire, Pays de Galles, années 1980. Le lecteur sera reçu dans un charmant hôtel tenu par une non moins charmante famille, quoique légèrement loufoque. Seren, jeune fille de 18 ans, est passionnée par le dessin mais reste assez indécise quant à son avenir. Toute sa vie vole en éclats lorsque son père décède, ce qui laisse comme un « terril » en elle. Sur la table de nuit du défunt, elle remarque une cuillère qu’elle n’avait jamais vue. Elle décide alors de retracer l’histoire de cet objet insolite. À bord de la Volvo héritée de son père, la voici sur les routes de France. Enquête sur sa famille mais surtout en quête d’elle-même, vous l’aurez compris, nous sommes dans un roman d’apprentissage. La cuillère comme catalyseur (pensez à la Cuillère d’André Breton) mais aussi la cuillère qui sert à mélanger le thé, tout un symbole pour Dany Héricourt qui est en partie anglaise. Un premier roman assez fantaisiste qui m’a parfois rappelé L’Hôtel New Hampshire de John Irving.