Chronique Le Bruit du dégel de John Burnside

- John Burnside
- Traduit de l’anglais par Catherine Richard
- Coll. «Bibliothèque écossaise»
- Métailié
- 23/08/2018
- 368 p., 22 €
12 libraire(s)
- Marie-Aube Ruault de La Carline (Forcalquier)
- Geneviève Gimeno de Maupetit (Marseille)
- Linda Pommereul de Doucet (Le Mans)
- Nadia Sendin de Biblio.gironde (St Medard en Jalles)
- Valérie Barbe de Au Brouillon de culture (Caen)
- Marianne Kmiecik de Les Lisières (Villeneuve-d'Ascq)
- Valérie Ohanian de Masséna (Nice)
- Virginie Vallat de de Paris (Saint-Étienne)
- Anaïs Ballin de Les mots et les choses (Boulogne-Billancourt)
- Valérie Schopp de L'Arbre à mots (Rochefort)
- Jean-Pierre Agasse de Actes Sud (Arles)
- Coline Thuillier de Mots en marge (La Garenne-Colombes)
Marianne Kmiecik Librairie Les Lisières (Roubaix et Croix)
Après Scintillation et L’Été des noyés (Métailié, 2011 et 2014), John Burnside revient avec un magnifique roman mettant en scène deux personnages féminins magnétiques. Kate, étudiante en cinéma, est complètement perdue depuis la mort de son père. Elle vit avec son petit ami, un garçon prétentieux et alcoolique, qui se sert d’elle pour son propre travail. Alors que la chaleur est écrasante, Kate parcourt les rues pour recueillir les histoires d’enfance des habitants. C’est par hasard qu’elle tombe sur la maison de Jean, une demeure cosy entourée d’arbres. La vieille dame, particulièrement perspicace, propose un marché à Kate : elle lui racontera son histoire si la jeune femme arrête de boire. Démarre alors un récit incroyable, abordant les thèmes marquants de l’histoire des États-Unis : le rêve américain, la violence, les guerres… Pour Kate, ce récit est un nouveau lien avec le monde, lui permettant de faire son deuil et de trouver sa voie ! Un roman envoûtant et profondément marquant !