Chronique On ne voyait que le bonheur de Grégoire Delacourt

- Grégoire Delacourt
- JC Lattès
- 20/08/2014
- 360 p., 19 €
18 libraire(s)
- Lydie Zannini de du Théâtre (Bourg-en-Bresse)
- Françoise Gaucher de Le Coin des livres (Davézieux)
- Décédée Betty Trouillet
- Nathalie Coupé de La Petite Marchande d’histoires (Uzerche)
- Jean-Luc Aubarbier de Lire en Majuscule (Sarlat-la-Canéda)
- Isabelle Aurousseau-Couriol de de Paris (Saint-Étienne)
- Jean-Pierre Maillet de La Parenthèse (Beaupréau)
- Frédérique Franco de Le Goût des mots (Mortagne-au-Perche)
- Béatrice Putégnat
- Sylviane Fredet de La Librairie Le BHV Marais (Paris cedex 4)
- Marie-Odile Perrocheau de Agora (La Roche-sur-Yon)
- Aurélie Janssens de Page et Plume (Limoges)
- Claire Authier de Fontaine Victor Hugo (Paris)
- Philippe Monnier de des Canuts (Lyon)
- Chantal Pellet de Majolire (Bourgoin-Jallieu)
- Carine David-Imbert de Majolire (L'Isle d’Abeau)
- Barbara Ferrari de Majolire (L'Isle d’Abeau)
- Margaux Henin
VÉRONIQUE MARCHAND, Librairie Coiffard, Nantes
Que vaut une existence humaine ? Aime-t-on assez les gens qui nous sont les plus proches ? Est-on toujours à la hauteur ? Voilà quelques-unes des questions que soulève ce roman bouleversant et que Grégoire Delacourt tente d’éclaircir. Attention : ce texte est dur ! Très dur, grave et dérangeant, du moins dans la première partie. J’avoue avoir eu envie d’arrêter la lecture tant il me perturbait, mais je ne regrette pas d’avoir combattu mes appréhensions parce que cette histoire, qui débute dans le drame, se termine sur une sublime note d’amour et de pardon. Comme vous peut-être, je lis aussi pour être transpercée par des émotions, être transportée au-delà de moi-même, aux frontières de ce que je ne sais pas ou ne peux pas exprimer, pour combattre des frayeurs enfouies. On ne voyait que le bonheur parle de nos vies, de nos drames secrets, des deuils que nous ne ferons jamais, avec élégance et beaucoup de tendresse.