Chronique Punkette & Poupoune de Benoît Minville

- Benoît Minville
- Illustrateur(s) : Ced
- Coll. «Pépix»
- Sarbacane
- 03/03/2021
- 132 p., 10.90 €
26 libraire(s)
- Laurence Behocaray de IUT Carrières Sociales - Site Jean Luthier - Université de Tours (Tours Cedex)
- Gaëlle Farre de Maupetit (Marseille)
- Isabelle Réty de Gwalarn (Lannion)
- Françoise Villemonteil de Page et Plume (Limoges)
- Aurélie Janssens de Page et Plume (Limoges)
- Céline Bouju de La Chapelle Saint-Aubin (La Chapelle Saint Aubin)
- Valeria Guédra de Momie (Grenoble)
- Noëmie Kormann de Le Failler (Rennes)
- Léonie Desbois de Le Bel aujourd'hui (Tréguier)
- Laetitia Toinen de Mots et images (Guingamp)
- Maria Ferragu de Le Passeur de l'Isle (L'Isle-sur-la-Sorgue)
- Emilie Druilhe de La Flibuste (Fontenay-sous-Bois)
- Aimée Rodot de Lamartine (Paris)
- Paola Ninni de Contrebandes (Toulon)
- Hélène Deschère de Récréalivres (Le Mans)
- Nathalie Baylac de Matière Grise (Montrouge)
- Audrey Andriot de Jonas (Paris)
- Aurélie Bouhours de Au temps des livres (Sully-sur-Loire)
- Agnes Godin de La Cabane à lire (Bruz)
- Alexandra Villon de La Madeleine (Lyon)
- Séverine Aumont-Sanz de Volte pages (Olivet)
- Amélie Muller de Récréalivres (Le Mans)
- Nathalie Jakobowicz de Le Phare (Paris)
- Angéline Botherel de Médiathèque (Draveil)
- Salomé Fauvel de du Tramway (Lyon)
- Laëtitia Tavoni de L'Aventure (Magny-en-Vexin)
Hélène Deschère Librairie Récréalivres (Le Mans)
Le samedi, Punkette et Poupoune sont gardées par leur père qui tente de faire avec leur énergie et imagination débordantes. Et surtout leurs disputes incessantes, aussi bruyantes que leurs réconciliations ! D’autant qu’elles ont le Riff, ce porte-clés magique qui les embarque dès qu’elles le souhaitent dans de folles aventures. Benoît Minville, accompagné par l’illustrateur Ced, débute une série consacrée à deux sœurs totalement irrésistibles, curieuses et fans de rock. On aime le regard que les deux bambines, drôles et malicieuses, posent sur leur père et leur quotidien. Elles disent très bien cet agacement permanent dans une fratrie et l’impossibilité totale de s’imaginer sans l’autre. Difficile de résister aux observations que Nola, la plus âgée, fait sur les adultes, ces humains incompréhensibles qui reprochent aux enfants de ne pas comprendre. Vinca, la plus jeune, invente quant à elle une langue très poétique sans s’en rendre compte. Un roman plein de tendresse et de headbang.