Chronique La Terre qui penche de Carole Martinez

- Carole Martinez
- Folio
- 13/04/2017
- 432 p., 8.20 €
28 libraire(s)
- Françoise Gaucher de Le Coin des livres (Davézieux)
- Nathalie Coupé de La Petite Marchande d’histoires (Uzerche)
- Marie Michaud de Gibert Joseph (Poitiers)
- Patricia Mériais-Martin de Le Porte-plume (Saint-Malo)
- Michel Edo de Lucioles (Vienne)
- Gaëlle Maindron de Livres in room (Saint-Pol-de-Léon)
- Michèle Germain de ParChemins (Saint-Florent-le-Vieil)
- James Hugueny de Apostrophe (Chaumont)
- Christelle Chandanson de Elkar (Bayonne)
- Catherine Ohanessian de La Page Suivante (Lyon)
- Amélie Ranchin de Le Jardin des lettres (Craponne)
- Béatrice Putégnat
- Betty Duval-Hubert de La Buissonnière (Yvetot)
- Ghislaine Calmet de Syllabes (Millau)
- Claude Charpentier de Lectures vagabondes (Liffré)
- Céline Arrault-Noël de Le Pain de 4 livres (Yerres)
- Hélène Menand de du Parchamp (Boulogne-Billancourt)
- Pauline Fouillet de Livres et vous (Ruffec)
- Brice Vauthier de L'Étagère (Saint-Malo (Paramé))
- Stéphanie Fontaine de Furet du Nord (Lille)
- Lydie Baillie de Aux lettres de mon moulin (Nîmes)
- Léonie Desbois de Le Bel aujourd'hui (Tréguier)
- Magali Mohamed de Le Pain des rêves (Saint-Brieuc)
- Pauline Girardin de Mots & Cie (Carcassonne)
- Maria Ferragu de Le Passeur de l'Isle (L'Isle-sur-la-Sorgue)
- Valérie Fèvre de La Cabane à lire (Bruz)
- Pascale Bragard de Anagramme (Sèvres)
- Adèle Blachon de La Compagnie des livres (Vernon)
Betty Duval-Hubert Librairie La Buissonnière (Yvetot)
La Terre qui penche est un fabuleux voyage au cœur d’une contrée abrupte tissée de secrets, un voyage au pays de l’enfance dessinant l’apprentissage du monde adulte et de la cruauté des hommes. Blanche est une jeune enfant fragile, éprise de savoirs et de liberté, abandonnée par son père au château des Murmures pour y être fiancée. Avec son âme fantomatique, elle appréhende le monde solitaire de l’enfance face à la folie des adultes, ce besoin incessant de guerroyer, cette soif de violence, ce monde de trahisons et d’infidélités. Vive et rebelle, elle observe, entend les secrets et renaît loin de son père brutal et hautain. Elle s’ouvre aux bouleversements intérieurs, aux émotions intenses, quitte peu à peu son enfermement et se laisse porter par un amour inattendu. Elle trouve réconfort et apaisement auprès de la Loue, sorte de rivière mystique ayant le don de parole. Après Du domaine des Murmures (Folio), cette fable est le deuxième volet des sept portraits de femmes que Carole Martinez consacre au Moyen Âge.