Chronique Danny champion du monde de Quentin Blake, Roald Dahl

- Quentin Blake, Roald Dahl
- Illustrateur(s) : Quentin Blake
- Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Jean-François Ménard
- Coll. «Grand format littérature»
- Gallimard Jeunesse
- 12/03/2020
- 250 p., 14.90 €
10 libraire(s)
- Gaëlle Farre de Maupetit (Marseille)
- Jean-Marie David-Lebret de Espace culturel (Rennes)
- Bénédicte Cabane de des Danaïdes (Aix-les-Bains)
- Jean Tanguy de Le Pain des rêves (Saint-Brieuc)
- Rachel Besnard-Javaudin
- Maëva Lamart de La Librairie Le BHV Marais (Paris cedex 4)
- Rachel Chéneau de Libr'enfant (Tours)
- Juliet Romeo de La Madeleine (Lyon)
- Caroline Rabel de Collège Jean Mermoz (Bois Colombes)
- Laurena Reichart de Le Neuf (Saint-Dié-des-Vosges)
Rachel Chéneau Librairie Libr'enfant (Tours)
J'ai lu à l'âge de 8 ans, en 1988, ce roman qui fait partie des plus beaux que j'ai lus de Roald Dahl, après l’indétrônable Moi, Boy. Lorsque l'histoire commence, Danny a 5 ans, il est élevé seul par son père, mécanicien. Ils vivent dans une roulette colorée sous un grand pommier. Ils ne sont pas bien riches mais ils sont heureux tous les deux. Son père est un homme au grand cœur, qui ferait tout pour son fils. Les jours et les années passent. Une nuit, alors qu'il atteint ses 9 ans, Danny se réveille et s'aperçoit que son père n'est pas dans son lit. Naturellement, il s'inquiète. Jusqu'à ce qu'il découvre que son père a un secret. C'est un braconnier ! S'en suivent alors de véritables aventures pour Danny et son père… face à l’affreux Mr Hazell ! Ce roman est un véritable hymne à l'amour paternel. C'est à la fois drôle, léger et délicieusement immoral. Un véritable classique de la littérature jeunesse qui se lit toujours aussi bien 45 ans après sa première publication.