Célia et Oliver sont de retour pour de nouvelles aventures. Retrouveront-ils la trace de la bibliothèque d’Alexandrie, et celle de leur mère disparue ? Sir Edmund, quant à lui, est plus que jamais décidé à triompher ! Les deux jeunes héros devront s’armer de courage pour vaincre pirates et calmars géants. 

Célia et Oliver ont survécu au Tibet, aux lamas, aux yaks. Ils ont parcouru l'Amazonie, découvert l'Eldorado et déjoué une nouvelle fois les plans de l’infâme Sir Edmund. Mais rien n'y fait, l'aventure, les explorateurs, ils détestent ça… sauf à la télé. Leur rêve, c’est de faire installer le câble. Et maintenant que c’est chose faite, pourquoi venir leur parler de destin et d’obscure prophétie ? De plus, lors de la soirée du nouvel an, ils rencontrent enfin leur idole, l’aventurier Corey Brandt. Ce soir-là, lorsqu’ils regagnent le quatrième étage et demi de leur immeuble en sa compagnie, ils se proposent de regarder ensemble la télévision. Mais les choses ne se déroulent jamais comme il faudrait, et un événement imprévu vient troubler la douce quiétude d’une soirée au coin de leur émission préférée. Quelqu’un s’introduit dans l’appartement et renverse la télévision. Ce quelqu’un, c’est un ami de leur mère. Et d’après ses dires, celle-ci se trouverait en grand danger. Avant qu’il n’ait le temps de leur révéler tout ce qu’ils doivent savoir, le démoniaque sosie de Corey lui tire dessus avec une fléchette empoisonnée. « Kraken… l’île… la carte… Allez chercher votre mère… cherchez les oranges glauques », leur souffle-t-il dans un ultime râle. Les héros partent en quête de l’Atlantide où leur mère serait apparemment retenue. Mais ils ont besoin de la carte de Platon, qu’un certain P. F. a dérobé. Corey Brandt prend une part active dans l’expédition, ce qui fait la joie de Célia. Pourtant, aux yeux d’Oliver, la présence de l’explorateur ne change pas grand-chose à l’affaire : l’aventure reste l’objet d’une multitude de périls, tels que les morsures de lézards, la menace de tomber sur des cannibales (même si ça n’existe pas) ou des calmars géants, de se retrouver nez à nez avec les pirates ou l’ignoble Sir Edmund, et d’affronter une foule d’autres dangers… pour le plus grand plaisir des lecteurs !

Lire aussi la chronique de Claire Lebreuvaud sur le 1e volet des Aventuriers malgré eux.