Jeunesse

Bee Ridgway

La Rivière du temps

photo libraire

Chronique de Alexia Sevoz

Librairie Charlemagne (La Seyne-sur-Mer)

À l’heure fatidique, Nicholas Falcott se retrouve projeté dans le futur deux siècles plus tard. La Guilde, cet organisme énigmatique flottant entre les frontières du temps, le prend en charge pour l’intégrer dans sa nouvelle vie. Mais des années après, le voilà convoqué par cette même organisation pour faire le voyage retour. C’est avec peu d’hésitations qu’il accepte de remonter la rivière du temps. Retrouver ses proches, comprendre le fonctionnement de la Guilde et surtout mettre un nom sur le visage qui hante ses rêves depuis son arrivée en 2013. Ce visage, c’est celui de Julia Percy, elle aussi dotée du pouvoir d’arrêter et de transformer les minutes et les heures. Les retrouvailles et les révélations se succèdent, les masques tombent et donnent à l’avenir un nouvel éclairage. Le lecteur, dès le début et jusqu’à la dernière ligne, ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants de ce premier roman de Bee Ridgway. Le texte, trépidant, mêle sans complexe et avec succès romance, aventure, histoire et fantastique.

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