Chronique La Bête de Buckingham Palace de David Walliams

- David Walliams
- Illustrateur(s) : Tony Ross
- Traduit de l'anglais
- Coll. «Witty»
- Albin Michel Jeunesse
- 28/10/2020
- 500 p., 15.90 €
10 libraire(s)
- Virginie Collet de La Préface (Colomiers)
- Mélanie Blossier de Doucet (Le Mans)
- Muriel André de Ecole Gabriel Péri (Saint-Chamas)
- Laurence Tutello de Le Chat Pitre (Paris)
- Emilie Druilhe de La Flibuste (Fontenay-sous-Bois)
- Audrey Andriot de Jonas (Paris)
- Jérémy Derny de L'impromptu (Paris)
- Charline Peeters de La Parenthèse (Liège)
- Blandine Regreny de des Halles (Niort)
- Laëtitia Tavoni de L'Aventure (Magny-en-Vexin)
Rachel Dionnet Librairie Libr’enfant (Tours)
La Bête de Buckingham Palace se situe en 2120. L'auteur jette un regard sur la monarchie britannique et ce n'est pas joli, joli ! Héritier du trône, le prince Alfred est enfermé dans le palais où il est né. Il n'a jamais quitté les murs du palais qui se trouve maintenant au milieu d’une zone de guerre. Les Britanniques vivent dans la pauvreté, une révolution se profile à l'horizon. Le prince Alfred est un enfant solitaire, chétif, mais il a une nounou fidèle et une mère aimante. Il est atterré quand elle est traînée au milieu de la nuit dans la tour de Londres sur ordre du roi et déclarée traîtresse. La reine ne peut pas être du côté des révolutionnaires qui ont l'intention de détruire la ville et tuer tous les membres de la famille royale, n'est-ce pas ? Avec une multitude de personnages excentriques, David Walliams nous livre une histoire pleine d'humour et de rebondissements, intégrant mythes et légendes dans un conte classique du bien contre le mal.